En 133 ans, la Tour Eiffel est devenue le symbole universel de l’élégance d’un Paris idéalisé. Son scintillement -5 mn par heure- n’est-il pas à l’image d’un cordon de fines bulles ? L’idée d’associer la Tour à un beau champagne portant le nom de son géniteur comme une pétillance de l’esprit de la Paris a poussé le descendant du grand ingénieur -associé à deux entrepreneurs- à lancer le Champagne Gustave Eiffel. Le tout en s’appuyant sur l’expertise d’une famille sérieuse de vignerons de la vallée de l’Ardre. La maison Fournaise.
L’impact des premières bulles du « Gustave Eiffel » a été couronné de succès. Elles ont fait leur effet à la Biennale des Antiquaires comme sur des belles tables de la Capitale à commencer par celle de Philippe Faure-Brac. Aujourd’hui ses promoteurs destinent leur « Gustave Eiffel » aux professionnels (CHR, traiteurs..). Ils visent une production de 100 000 bouteilles pour les JO de Paris de 2024 afin que leur champagne coule généreusement dans les différents pavillons des pays participants à l’ombre de la Tour…
Le seul étui du Gustave Eiffel se distingue à travers des détails soignés comme une tour stylisée en filigrane. Le packaging reprend quelques codes du luxe comme le noir et l’or. Les bouteilles sont dans le même esprit. Une fois posées sur la table, elles font leur effet suscitant une furieuse envie de faire sauter le bouchon.
C’est notamment le cas pour la cuvée de Blanc de blancs à la bouteille bien galbée. Ce 100% chardonnay focalise le regard pour la finesse de son cordon de bulles qui évoque l’élancement de la tour. Son nez de fleurs blanches, sa bouche tactile de fruits blancs sur des notes mellifères en font un champagne raffiné qui ne trahit pas son nom.
Le Brut Réserve – assemblage par tiers de pinot noir, de pinot meunier et de chardonay- révèle un nez au profil floral affriolant. Dosé à 10g, la bouche à la trame bien droite est marquée par la fraîcheur comme un tapis de pommes mûres avec un soupçon de notes pâtissières sans jamais que le sucre ne l’emporte.

Le Gustave Eiffel rosé complète la gamme en demeurant dans cette élégance. Au nez, on est bien sur des petits fruits rouges un peu acidulés que l’on retrouve en bouche sur une belle fraîcheur et une trame fine. Une fois encore le sucre ne met jamais en péril le bel équilibre et le rend aussi appréciable à l’apéritif qu’au dessert en accompagnement d’un fraisier ou d’une pavlova. Du nom d’une grande ballerine russe qui a peut-être croisé les pas de Gustave…
Prix professionnels HT.
Brut Réserve : 22 €
Rosé : 25€
Blanc de Blancs : 29€