Auteur/autrice : Paris redaction

Si les prix pratiqués par les bistrots sont libres, l’affichage des prix est par contre obligatoire tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des établissements. Si les prix que vous allez pratiquer sont libres, (rien ne vous empêche de facturer un café 2,20 euros alors que votre voisin facture 1,60 euros ou l’inverse), l’affichage des prix est par contre obligatoire tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de votre établissement. Vous êtes tenu d’afficher à l’extérieur de votre établissement la liste des menus ou cartes du jour, et ce pendant « toute la durée du service et au moins à partir de 11 heures et…

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Sandrine Darriet-Froléon du château Dauphiné Rondillon a conçu un bento pour servir d’écrin à son Loupiac. Le bento, c’est cette boîte utilisée par les Japonais pour emporter leurs déjeuners. Pas d’anguilles fumées dans celui-ci mais un 50 cl de liquoreux millésimé 2002 accompagné de wasabi pistachios et de crackers au Nori légèrement salés pour faire la douceur du loupiac. Ce faisant la maîtresse du Château Dauphiné Rondillon fait d’une pierre deux coups. Elle rajeunit la cible de son loupiac en l’extirpant des codes antiques du vin d’accompagnement du foie gras. Et, en le distribuant chez Lavinia, elle suscite…

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A l’assaut du Mont Brouilly !  Il faut avoir de bons mollets pour vendanger au domaine Thivin. Et pour cause une grande partie des pieds de vignes s’alignent sur les pentes du Mont Brouilly. La famille Geoffray exploite 28 ha en Brouilly et Côte-de-Brouilly. Au fil des ans, ils ont soigné leurs méthodes culturales en diminuant au maximum le recours aux produits « phyto ». Culture des haies, labours, culture de graminées entre les rangs pour offrir un refuge aux prédateurs de prédateurs. «La technique est l’ennemie des vins de terroir» explique inlassablement les Geoffray pour souligner le minimum d’intervention durant la vinification.…

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Ce vignoble s’étend sur 12 km de coteaux inclinés à 30% bien exposés non loin du lac du Bourget. Il surplombe la plus grande peupleraie de France. Derrière la belle apparence des lieux, l’avenir est lourd d’incertitudes pour la coopérative locale, la Cave de Chautagne. 52 vignerons apportent encore leurs raisins à la cave mais la plupart sont des double actifs. Ce vin est classé A.O.C. Cru de Chautagne depuis 1973. Le vignoble de la Cave de Chautagne comprend environ 135 hectares, il se situe uniquement sur les coteaux de la zone, avec des pentes pouvant avoisiner les 30% d’inclinaison.…

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Avec la crise, l’œuf a le vent en poupe. Malgré une hausse moyenne de 5% en 2012, c’est encore l’une des protéines les moins chères. Les restaurateurs l’ont bien compris dans leurs calculs du coût produit. Ils multiplient les recettes d’oeufs -meurettes, mayo, sans oublier l’œuf parfait sur les cartes des gastros. Et le Comité National pour la Promotion de l’Œuf joue sur la même corde en sensibilisant les jeunes talents de la cuisine avec un concours national dont la finale parisienne s’est tenue à l’école Ferrandi où un jury a départagé les six candidats finalistes qui ont eu à…

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C’est dans les limites naturelles de la « Provence calcaire » que se niche l’AOC des Coteaux Varois en Provence, de Brignoles (au centre du Var) à Saint-Maximin (à l’ouest). Ce paysage est dominé par le massif de la Sainte-Baume qui culmine à 1 148 mètres. Les parcelles de vignes, plantées entre 350 et 500 mètres d’altitude, sont protégées de l’influence maritime par les massifs rocheux. Cette particularité leur permet de se développer dans un climat de type continental, avec des demi-saisons douces, des étés très chauds et des hivers plus rudes que dans le reste de la région. Les Coteaux Varois ont…

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Le 3 avril dernier, bonne humeur et convivialité étaient de rigueur à « l’Opportun » pour fêter la langoustine nouvelle. Comme ils fêtent le Beaujolais Nouveau, amis et habitués de ce bouchon lyonnais ont répondu à l’invitation de Serge Alzérat. Initié l’année dernière, l’événement pas du tout « poisson d’avril » lance la haute saison de la langoustine, du 1er avril au 18 août. Printemps oblige, la période de reproduction débute et les crustacés sortent de leur tanière. Moins rares, ils deviennent plus abordables, jusqu’à 8 euros le kilo sachant que le prix moyen à l’année est de 10,70 euros. En savoir…

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Petit château d’eau cool… Voilà un bistro de quartier où l’on peut emmener sa douce ou son pote, sans craindre de croquer de la tarte à la grimace ou de tomber dans la vacuité visuelle des néo bistros sans âmes. Ici le regard s’accroche aux détails. Le jeune patron s’appelle Jean-Robert, JR pour les habitués. C’est le troisième propriétaire de ce jeune troquet né avant la Guerre de 14, et qui baigne -grâce à dieu, encore- dans son jus de Belle Epoque revue durant les années trente . La moleskine des banquettes s’ élime et garde la trace des postérieurs.…

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Le crémant de Limoux est reconnu AOC depuis 1990. Il est composé de deux cépages principaux : chenin et chardonnay. Les cépages accessoires, mauzac et pinot noir sont limités à 20%. Eugénie Blanc Brut 2010Domaine Georges et Roger Antech Très caractéristique du crémant de Limoux avec son nez de fleurs blanches. Une bouche ample et bien équilibrée. Ca marche à merveille avec des viandes blanches. Prix : 9.50 € par 18 cols minimum www.antech-limoux.fr/

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Question bio, ce n’est pas brillant. L’Ile-de-france arrive en 21ème position pour le nombre d’exploitations. La production « bio » est assurée par 172 exploitants. Ils représentent 0,8 % des 20 604 agriculteurs bio de métropole. Quant à la superficie dédiée au bio, elle est 6 758 hectares représentent, soit 1,18% de la surface agricole francilienne, ce qui place l’Ile-de-France au 19ème rang des régions. Loin de la moyenne métropolitaine (3,1 %). Encore plus de l’objectif de 6% en 2012 fixé par le Grenelle de l’Environnement. A moins d’une « révolution verte », on voit mal comment l’objectif de 20 % de…

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Etablissement fermé Ce bistrot, à deux pas de l’Elysée, baigne tellement dans son jus années 50 qu’on ne serait même pas surpris de voir débouler René Coty pour commander un calva. Quel bonheur de voir écrit en gros sur le tableau derrière le comptoir, « Coca 15€ », « coca light 18 € »… Tandis que sur les ardoises s’aligne une litanie de crus du beaujolais à 2,50€ le ballon. Pince-mi et pince-moi…sont dans un bistrot. Si Sarko venait à pousser la porte, Stéphane Derre, le patron aurait de quoi le convaincre de se mettre au vin rien qu’en lui servant son bourgogne aligoté…

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Courteline (1858/1929), de son vrai nom Georges Moineaux, fait des cafés son poste d’observation et son cabinet de travail. Ils seront source d’inspiration pour ces comédies courtes (pas plus de deux actes) qui décrivent avec une grande justesse d’observation la vie quotidienne de la petite bourgeoisie à laquelle il appartient. Se plaisant à tourner en ridicule les relations conjugales et extra-conjugales. C’est notamment à l ’Auberge du Clou, à l’angle de l’avenue Trudaine et de la rue des Martyrs, où d’ailleurs il sirote quotidiennement son anisette, qu’il croque sur le vif ses personnages et y trouve des anecdotes. « Boubouroche » écrit…

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